6 février, une journée sans téléphone ... ou presque !?!

Journée sans téléphone

Mon usage du téléphone portable ou smartphone

Il y a 24 ans, le 6 février, Philippe Marso (écrivain) lance la première journée sans téléphone portable. Cette journée perdure, alors qu'aujourd'hui le téléphone est devenu indispensable. En 2024, il n'est plus question d'éteindre son téléphone mais plutôt d'en avoir un usage contrôlé afin d'éviter une dépendance ou la "nomophobie" qui consiste à ressentir un sentiment de vide ou de terreur à l'idée de perdre son téléphone ou de manquer une information importante (mails, news...).

Défis pour diminuer son usage du smartphone

• Sur son site Mobilou.net Philippe Marso propose pour les ados (et peut-être pour soi aussi) : 6 défis sans smartphone et un défi/un jeu : Simulation tempête solaire
• Natacha, sur le site Échos verts, donne dix astuces pour un usage responsable et modéré de son smartphone

Contrôler l'usage des enfants

• Règles d'or du bon usage de son téléphone sur Mon enfant et les écrans 
• 7 conseils pour gérer l'utilisation qu'en ont les ados sur Supers Parents   
• Différents outils pour protéger ses enfants sur Je protège mon enfant dans son usage des écrans

Addict ou pas ?

Petit questionnaire pour une réflexion sur son usage :

• Est-ce que j'utilise mon téléphone (ou smartphone) comme réveil ?
• Est-ce que je l'éteins la nuit ?
• M'arrive-t-il de le mettre en silencieux ou en mode avion ?
• Comment suis-je averti de notifications ?
• Est-ce qu'il y a des applications dont je peux me passer ?
• Est-ce que je m'offre des moments sans téléphone (promenade, méditation, retraite...) ?
• Est-ce qu'il m'arrive de sortir de chez moi sans mon téléphone ? Si cela arrive, quel est mon ressenti ?
• Est-ce que je mets mon téléphone hors de vue  dans la journée ?
• Est-ce que je déjeune avec mon téléphone à proximité, voire en étant sur mon téléphone ?
• Est-ce que je peux m'imaginer passer 24h sans mon téléphone ?

Les réponses à ces questions sont des indicateurs sur mon usage ! En avoir conscience permet de le rectifier si nécessaire.